Université Libanaise
Professeur(e)s
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Pr. Mohamad EL Hage

Section 3
mhamad.elhage@ul.edu.lb
  • Grade
    Professeur
  • Diplôme
    Doctorat
  • Spécialisation
    Géomatique
  • Mention
    Télédétection et systèmes d’information géographique

Né à Aydmoun-Akkar, en 1986

 

Qualifications scientifiques

  • Doctorat en géomatique de l’École Supérieure des Géomètres et Topographes (ESGT Le Mans), en 2012 ;
  • Diplôme d’ingénieur de l’ESGT Le Mans, en 2009 ;
  • Première année et deuxième année de mathématiques à la Faculté des Sciences (FS) – Section 3 de l’Université Libanaise entre 2004 et 2006.

Carrière professionnelle

  • Enseignant-chercheur à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (FLSH) - Section 3 de l’Université Libanaise en 2012 ;
  • Directeur de la FLSH – Section 3, depuis 2021 ;
  • Chef du département de géographie à la FLSH – Section 3, entre 2017 et 2019 ;
  • Membre du conseil des délégués de l’Association des enseignants contractuels à temps plein de l’Université Libanaise, depuis 2018 ;
  • Directeur de mémoires et de thèses en géomatique, géographie, génie de l’environnement et génie civil ;
  • Membre de l’Ordre des ingénieurs et des architectes de Tripoli, depuis 2015 ;
  • Membre de l’Association géographique libanaise, depuis 2014 ;
  • Chercheur au Centre national de télédétection (RSC) du Conseil national de la recherche scientifique (CNRS-LIBAN), en 2013 ;
  • Membre de l’équipe scientifique du programme « Satellite Libanais », qui vise à fabriquer le premier satellite libanais ;
  • Membre de l’équipe scientifique du satellite BIOMASS développé par l’Agence spatiale européenne (ASE) ;
  • Chercheur invité au Centre d’études spatiales de biosphère (CESBIO) à Toulouse, depuis 2017, et aux universités de Boston et de Northeastern aux États-Unis, en 2015 ;
  • Auteur de plusieurs travaux de recherches et d’articles publiés dans des revues scientifiques internationales, menés dans des laboratoires et centres de recherche internationaux tels que l’Agence spatiale américaine (NASA), le Centre national d’études spatiale en France (CNES), et l’Institut national des recherches spatiales au Brésil (INPE).